Vaccins et censure… Ouvrir les yeux sur un crime de droit commun et sur nos politiques de santé

 

 

Pour avoir une idée de ce que le mot ‘tabou’ signifie aujourd’hui et prendre la mesure de l’obéissance des médias aux hégémonies pharmaceutiques, il n’y a qu’à s’interroger sur la diffusion du documentaire Vaxxed.  En dépit de la censure et de la campagne de dénigrement la plus féroce de l’histoire du cinéma, le document accablant de Del Bigtree et Andrew Wakefield, pourrait bien menacer le sacro-saint dogme de la politique vaccinale.

 

Aux Etats-Unis, de ville en ville, parents et groupes citoyens se rassemblent en constituant des groupes facebook par région, pour organiser la projection du documentaire, les propriétaires de salles étant trop menacés. Partout dans le monde, un mouvement d’indignés revendique son droit à la vérité, à l’information et à la justice.   La colère gronde tant chez les parents que chez les médecins. ‘Pro’ ou ‘anti’, tous sont trahis.

 

Et ici…Qui osera en parler ? Avez-vous vu des interviews du professeur Luc Montagnier qui a participé au tournage du documentaire ? Ne peut-on se demander pourquoi un prix Nobel de médecine, réputé pour ses travaux sur les virus, qui est passé par le CNRS et l’Institut Pasteur a tenu à soutenir ce film ?

 

A part quelques blogs et magazines de santé alternatifs, c’est toujours le black out.

 

Pourtant, falsifier une augmentation statistique de 340% du risque d’autisme lié à l’administration du vaccin ROR, mentir ensuite en affirmant au contraire que l’étude a écarté tout soupçon, cela relève tout simplement du crime de droit commun. C’est un des cas les plus évidents de fraude scientifique, qui plus est, confessé par un de ses auteurs. Et surtout, derrière les chiffres, il y a le fait de laisser courir ces ‘accidents vaccinaux’, la non-assistance à enfants en danger.

 

Ce silence médiatique et l’absence de débat sont particulièrement inquiétants. Cette étude sert depuis une décennie à appuyer les politiques vaccinales de la planète. Les conclusions du CDC inspirent les recommandations de l’OMS et de nos autorités de santé nationales.

 

En Belgique, le Conseil Supérieur de la Santé organise le 18 mai une assemblée générale intitulée « Dans les coulisses de la vaccination », dans ce qui semble être une anticipation inavouée de cette très épineuse question. Le thème des « hésitations vaccinales » y sera abordé par les ténors traditionnels des politiques sanitaires. S’agit-il d’une autre masquarade ? Ou peut-on réellement espérer une véritable remise en question et interpellation politique ?

 

Allons-nous continuer à imposer à l’entrée en crèche un vaccin qui pose un risque, sur base de recommandations mensongères ?

 

En parallèle à cette journée, les associations francophones Initiative Citoyenne et Info vaccin Prevnar et néerlandophone Preventie Vaccinatieschade, ouvriront donc le débat par une conférence de presse préalable : « Enjeux sanitaires et éthiques des vaccinations : levons ENFIN le voile ! ».

 

C’est à titre personnel que je les rejoindrai pour m’y exprimer, mais en espérant aussi être une voix pour les parents dont je reçois les témoignages, les interrogations et les doutes, depuis de nombreuses années. Car parmi tous ceux qui m’ont rapporté avoir vu leur enfant régresser suite à une vaccination, pas un seul parent n’a été écouté, pas un seul ‘effet secondaire’ enregistré, pas un seul dommage vaccinal reconnu.

 

Dans un tel contexte, il est désormais inacceptable de ne nous servir encore que des ‘statistiques’. Des études solides s’imposent sur les mécanismes de la vaccination, et sur les cas de régression autistique suivant une vaccination.

 

Cette expérience devrait nous ouvrir les yeux, non seulement sur le vaccin ROR, mais sur la manière dont la santé d’une population entière tient finalement entre les mains d’un petit comité ‘d’experts’ indéboulonnables. Est-ce normal que l’avis d’une poignée de personnes et d’une institution pèse sur la vie et la santé de toute l’humanité ? Quel risque prenons-nous pour toute une génération, en cas de malhonnêteté, d’erreur ou d’incompétence de leur part ?

 

En France, où ‘un grand débat’ devrait se profiler autour de la vaccination, ce crime contre l’enfance vient donc à point pour remettre les compteurs à zéro et poser les questions de fond. Comme celle de la liberté des soins de santé Il en va bien sûr de la crédibilité des institutions scientifiques et politiques.

 

C’est là que nous verrons si nous sommes capables, collectivement, de faire preuve d’intelligence et de rehausser notre dignité humaine.

 

Senta Depuydt

 

 

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Résume de l’affaire

 

 

 

Infos vaccins : www.initiativecitoyenne.be   et groupe facebook info vaccin prevenar

 

Interview Bigtree, Wakefield