The Vaccine Revolution for Truth

Discours historique de Barbara Loe Fisher, Présidente du NVIC:

"Nous sommes ici pour les familles et les médecins qui vivent dans la peur d’être victimes de discrimination, dans la peur d’être punis s’ils veulent parler honnêtement dans leur communauté de ce qu’ils savent être vrai"


Traduction

Nous qui sommes réunis devant le Capitole, représentons plusieurs milliers d’Américains ainsi que leurs familles qui n’ont pu être présents aujourd’hui parce qu’ils sont malades ou s’occupent d’un membre de leur famille qui est malade. [1,2,3]

 

Nous sommes ici pour les familles et les médecins qui vivent dans la peur d’être victimes de discrimination, dans la peur d’être punis s’ils veulent parler honnêtement dans leur communauté de ce qu’ils savent être vrai. [4,5,6,7,8]

 

Nous sommes venus ici pour défendre la liberté de pensée, d’expression, la liberté de conscience, ces droits naturels inaliénables qui nous unissent tous, quel que soit le lieu où nous habitons, la couleur de notre peau, la foi ou les philosophies qui nous définissent.

 

Nous en appelons au gouvernement pour qu’il fasse son travail qui est de protéger la santé du peuple – au lieu de s’occuper de protéger des industries lucratives en partenariat avec le gouvernement tout en manipulant l’information que publient les médias traditionnels.

 

Nous revendiquons le droit de connaître la vérité sur la sécurité de la nourriture que nous prenons [9], l’eau que nous buvons [10], les médicaments que prescrivent les médecins [11, 12, 13], ainsi que les vaccins que les enfants Américains sont forcés d’accepter pour pouvoir fréquenter l’école [14], recevoir des soins médicaux [15,16] ou, pour les adultes, garder un emploi. [17,18]

 

Nous sommes aussi ici pour témoigner de la souffrance de nos enfants qui n’ont pas de voix et qui n’ont pas le choix que nous les parents prétendons vouloir pour eux.

 

Nous voulons que les représentants du gouvernement nous expliquent pourquoi notre pays qui est champion du monde en dépenses de soins de santé [19,20] et qui possède le taux de vaccinations des enfants le plus élevé du monde [21] est paralysé par des maladies chroniques, ainsi que par une épidémie d’invalidité qui coûte plus de deux trillons de dollars par an [22]. Cette politique a créé une population d’enfants et de jeunes adultes la plus malade de toute l’histoire des Etats-Unis :

 

  • 1 enfant sur 6 souffre de troubles de l’apprentissage [23]

  • 1 enfant sur 9 est asthmatique [24]

  • 1 enfant sur 10 souffre de troubles mentaux [25]

  • 1 enfant sur 13 est allergique à la nourriture [26]

  • 1 enfant sur 20 est épileptique [27]

  • 1 enfant sur 50 est autiste [28]

  • 1 enfant sur 400 souffre de diabète.

 

Et des millions d’autres souffrent d’autres types de dommages au cerveau, au système immunitaire, et d’inflammations chroniques. Il n’existe aucune évaluation suffisamment élevée du prix que notre nation aura à payer et qui risque de la précipiter dans la faillite au fur et à mesure que ces enfants grandiront et que beaucoup d’entre eux devront avoir recours à des soins à vie. Les problèmes ne manqueront pas non plus en matière de logements. [30]

Quel genre de métier vont-ils exercer ? Où pourront-ils vivre ? Qu’arrivera-t-il quand leurs parents seront morts ? [31]

 

Nous ne garderons pas le silence alors que l’intégrité biologique d’une génération est détruite. Tout ce drame ne pourra que se poursuivre si nous lui permettons de continuer.

 

Je dis tout cela en tant que maman qui avait un enfant parfaitement sain et brillant. Et qui, à deux ans et demi, a commencé à souffrir de convulsions, de collapsus et d’une inflammation au cerveau [32, 33] quelques heures après son vaccin DTC en 1980. Il a malheureusement gardé des difficultés d’apprentissage et a dû, pendant 12 ans, recevoir une éducation scolaire spéciale. Mon fils n’est pas mort et n’a heureusement pas subi de graves dommages cérébraux comme c’est malheureusement le cas de tant d’enfants pour lesquels les risques de la vaccination ont été de 100%.

 

Il a fait partie du raz de marée des enfants handicapés qui s’est produit dans les années 1980, qui s’est accentué dans les années 1990, et a fini par exploser au cours de la première décennie du XXIème siècle. [34,35] exactement à l’époque où les doses du calendrier vaccinal des enfants ont triplé passant de 23 doses de 7 vaccins en 1980 [36] à 70 doses de 16 vaccins au cours des 30 années suivantes. [37]. - Les Centres Américains de Contrôle et de Prévention des Maladies (CDC) exigent maintenant que les médecins administrent aux femmes enceintes des vaccins qui n’ont jamais reçu l’autorisation d’être utilisés au cours de la grossesse [38]. Les médecins reçoivent des indications pour administrer un vaccin le jour même de la naissance, comme aussi 6 dizaines de doses dans la suite.

Montrez-nous la science sur laquelle sont basées ces pratiques, et donnez-nous le choix !

 

Les vaccins contiennent des virus génétiquement modifiés, des bactéries, plus des ingrédients comme le mercure, l’aluminium, le formaldéhyde, le phénoxyéthanol, du glutaraldéhyde, des protéines, des particules synthétiques, des antibiotiques de l’ADN et de l’ARN humain, animal ou d’insectes. [39]

 

Où se trouve la véritable science qui démontre que les enfants sont en meilleure santé quand, à plusieurs reprises, ils reçoivent des vaccins qui stimulent artificiellement une cinquantaine de fois des réponses immunitaires inflammatoires avant l’âge de 6 ans ? [40]

A quel point ces enfants hyper-vaccinés doivent-ils devenir malades pour que les officiels du gouvernement se décident à réévaluer l’hypothèse selon laquelle plus il y aura de vaccins, plus la santé des enfants s’améliorera ?

 

Où se trouvent les preuves scientifiques crédibles qu’il est salutaire de donner aux enfants des amphétamines et des antidépresseurs avec effets secondaires qui incluent des pensées suicidaires et des comportements violents [41], ou que la santé des enfants s’en trouve améliorée quand ils boivent de l’eau fluorée [42] et ont les dents remplies d’amalgames au mercure [43], comme lorsqu’ils mangent des aliments génétiquement modifiés et qui contiennent des résidus de pesticides, d’hormones, d’antibiotiques et de divers produits chimiques ? [44] Pourquoi le gouvernement crée-t-il des partenariats avec l’industrie chimique, et pourquoi bloque-t-il l’étiquetage des aliments OGM [45] ? De ce fait, les Américains n’ont plus le droit de savoir et de choisir en connaissance de cause ce qu’ils mangent et avec quoi ils nourrissent leurs enfants ?

 

Pourquoi la loi sur les divers traitements du 21è siècle créée par le Congrès [46] a-t- elle été adoptée comme loi l’année dernière de sorte que les normes de délivrance des licences (pour des consentements éclairés) puissent encore être abaissées ? Aujourd’hui, toutes sortes de facilités ont été accordées à l’industrie – le plus puissant lobby au Capitol Hill – pour pouvoir expérimenter sur le peuple sans son consentement, et pour pouvoir accélérer les études sur les médicaments et les vaccins afin de pouvoir les écouler encore un peu plus vite – sans qu’il soit prouvé qu’ils sont sûrs et efficaces.

 

Pourquoi le Congrès a-t-il créé une alternative administrative fédérale au système de dédommagement des personnes dont la santé a été abîmée par les vaccins avec le National Childhood Vaccine Injury Act de 1986 – mais ne prend aucune mesure lorsque les Départements de la Santé et de la Justice ont systématiquement vidé cette loi de toute substance en la transformant en une espèce de cruelle plaisanterie ? [47] Aujourd’hui la majorité des enfants dont la santé a été endommagée par les vaccins se voient refuser toute indemnisation, de sorte que les fonctionnaires peuvent se permettre de ne pas admettre combien d’enfants ont vu leur santé endommagée ou sont décédés après avoir été vaccinés en Amérique. [48]

 

En 2011, le Congrès n’a jamais dit mot lorsque Big Pharma a utilisé cette loi pour persuader la Cour Suprême des Etats-Unis de carrément interdire toutes les poursuites en cas de dommages vaccinaux sur le territoire des Etats-Unis, bien qu’en déclarant que les vaccins sous licence FDA sont « inévitablement dangereux » [49]

 

Les 3,6 milliards de dollars qui ont été accordés en dédommagement à plus de 5.000 victimes depuis 1988, ne correspondent pas aux dommages réels infligés qui ont été causés, étant donné que deux plaintes sur trois sont rejetées [50]. De ce fait, les compagnies pharmaceutiques n’ont guère d’incitation à rendre les vaccins moins nocifs, alors que tous les Américains sont légalement obligés d’acheter et d’utiliser ces produits libérés de toute responsabilité.

 

Chaque promesse faite en 1986 aux parents par le Congrès ne relevait en fait que du mensonge. Que des parents aient dû attendre trente années pour qu’une réforme de la responsabilité civile échoue finalement est lamentablement un peu long !

 

Le bouclier qui protège Big Pharma de toute responsabilité doit disparaitre

 

Il serait impensable de permettre à une industrie d’échapper à toute responsabilité devant un tribunal civil lorsque ses produits peuvent provoquer des dommages de santé ou même entraîner la mort.

 

En 1962 déjà, l’écologiste Américaine Rachel Carson avait prévenu que l’alliance entre l’industrie et le gouvernement finirait par empoisonner la terre et la santé des citoyens. Elle a dit : «  Si la Déclaration des Droits du citoyen ne contient aucune garantie que les citoyens soient protégés contre des poisons qui peuvent s’avérer mortels – que ces poisons soient distribués par des industries particulières ou par des fonctionnaires,- c’est sûrement parce que nos père fondateurs, en dépit de leur grande sagesse et de leur prévoyance, n’ont jamais pu concevoir  qu’un tel problème se poserait un jour. » [51]

Vingt ans plus tard, des parents d’enfants handicapés par les vaccins de la région de Washington D.C. ont fondé un organisme éducatif de bienfaisance connu aujourd’hui sous le nom de National Vaccine Information Center. Le NVIC a donc lancé un mouvement en Amérique traitant de la sécurité vaccinale et du consentement éclairé. [52] Ce sont aussi des gens ordinaires qui, dans les années 1980, ont demandé le droit de savoir et de prendre le contrôle de leur santé dans les domaines de l’environnement [53], de la nourriture saine [54], de la santé holistique [55,56,57]

 

Une seule vérité a rassemblé ces divers mouvements de base : le gouvernement a trahi la confiance du public en forgeant des partenariats commerciaux avec les industries chimiques et pharmaceutiques qui font passer les questions de profit avant l’intérêt des personnes. [58,59,60,61,62,63,64]

 

Et aujourd’hui au 21è siècle, quand toute le monde connaît quelqu’un qui a été vacciné après avoir toujours été en bonne santé, le partenariat public-privé entre l’industrie et le gouvernement fait l’impossible pour priver les citoyens de leur droit à un consentement éclairé par rapport à tout risque médical. On adopte aujourd’hui des lois qui privent les américains d’exercer leur doit de pensée, de conscience et de croyance religieuse [65] afin qu’ils puissent faire l’objet de chantage et de pressions et accepter des vaccins qui présentent des risques inacceptables, et qui n’ont pas l’efficacité qu’on a voulu leur attribuer [66,67]. Albert Einstein qui a risqué d’être arrêté en Allemagne dans les années 1930 quand il s’est prononcé contre la censure et la persécution des minorités a déclaré : «  Ne faites jamais rien contre votre conscience, même si l’état vous le demande. » [68]

Il n’y a pas de liberté plus fondamentale et de droit naturel plus inaliénable que la liberté de suivre sa conscience quand on choisit ce pourquoi nous acceptons de risquer notre vie et celle de nos enfants.

 

Alors que nous sommes tous égaux, avec des droits égaux selon la loi, nous différons naturellement tous les uns des autres. Chacun d’entre nous possède des gènes qui lui sont propres, un microbiome unique influencé par l’épigénétique qui affecte la façon dont nous répondons aux environnements dans lesquels nous vivons. [69,70,71,72] Nous ne répondons pas tous de la même façon aux maladies infectieuses [73] – ou à des produits pharmaceutiques comme des vaccins. [74] – Aucun médecin ne pourra prédire quelle personne aura sa santé endommagée. [75]

 

Cela signifie que les risques des vaccins ne sont pas supportés à parts égales par tous les membres de la société. La vaccination forcée est de facto une sélection des plus vulnérables pour le sacrifice de leur santé ou de leur vie.

 

Pourquoi la vie de ceux qui sont les plus vulnérables aux complications vaccinales devrait-elle être considérée comme moins importante que celle de ceux qui sont vulnérables aux complications que peuvent apporter les infections ?

 

Et pourquoi tout un chacun ne devrait-il pas se sentir libre de choisir de rester en bonne santé par des moyens qui comportent moins de risques ? [76]

 

Ce sont des questions scientifiques et éthiques légitimes qui ne devraient pas être ridiculisées par le gouvernement, les organisations médicales et les médias traditionnels qui diabolisent un nombre croissant de personnes qui se demandent pourquoi ils ont, ou connaissent un enfant né en bonne santé et qui, soudainement régresse physiquement, mentalement et émotionnellement tout en rejoignant les rangs des personnes handicapées. Les gens ne comprennent pas pourquoi le gouvernement refuse de financer ou de mener des études scientifiques rigoureusement menées pour savoir pourquoi les corps d’un grand nombre d’enfants et d’adultes hautement vaccinés sont criblés d’inflammations chroniques fréquentes dans la plupart des dysfonctionnements du cerveau et du système immunitaire [77,78,79] que les médecins diagnostiquent comme :

 

  • TDAH ; [80,81,82]

  • Epilepsie ; [83]

  • Allergies ; [84]

  • Autisme ; [85,86,87,88]

  • Inflammation de l’intestin ; [89,90], problèmes de thyroïde [91], troubles métaboliques ; [92]

  • Polyarthrite rhumatoïde ; [93]

  • Obésité ; [94]

  • Cancer ; [95,96,97]

  • Schizophrénie ; [98,99]

  • Dépression ; [100]

 

Les choses n’ont pas toujours été comme cela en Amérique. J’ai grandi dans les années 1950 et 1960 et me souviens que presque chaque enfant faisait la rougeole, les oreillons, la varicelle avant l’âge de 10 ans. A cette époque il n’y avait pas de classes spéciales pour enfants handicapés, autistes ou émotionnellement perturbés.

 

A cette époque, il était rare qu’un enfant éprouve des difficultés pour apprendre ; les élèves ne se servaient pas d’inhalateurs pour asthmatiques, et il n’était pas nécessaire de stocker de la Ritaline ou du Prozac dans le bureau des infirmières [101,102,103]. Je me souviens que quand nous mangions du beurre de cacahuètes et des sandwiches à la marijotte, personne n’avait peur que ces aliments contribuent à tuer l’un d’entre nous. [104,105]

 

La plus grande urgence de santé publique en Amérique n’est pas ces cas de rougeole à Disneyland dans une population de 320 millions de personnes [106,107,108], ou moins d’un pour cent des enfants ne sont pas vaccinés [109] alors que 95 pour cent d’entre eux ont reçu deux vaccins contre la rougeole, cinq contre la coqueluche [110] et plusieurs dizaines de doses d’autres vaccins.

 

L’urgence réelle en matière de santé publique en Amérique est celle qui est dissimulée par les Agences gouvernementales travaillant des heures supplémentaires avec l’industrie et les médias traditionnels pour distraire, tromper, faire de l’obstruction et restreindre les libertés des Américains pour les empêcher de prendre contrôle de leur propre santé.

 

La réaction des promoteurs de vaccins et de certains promoteurs des lois sur la vaccination obligatoire cataloguent « d’égoïstes » les parents qui ne sont pas d’accord avec eux, suggérant qu’ils « maltraitent les enfants ». Ou, pour insister davantage, comme le fait le pédiatre Paul Offit, déclarer que les dommages et les décès causés par les vaccins relèvent du mythe. Ce pédiatre prétend aussi que les enfants peuvent, sans problème, recevoir 10.000 vaccins en une seule fois. [111]

Ou, comme le pédiatre Peter Hotez qui demande au gouvernement américain et au G20 de faire la guerre aux parents américains qui se battent pour défendre les lois d’exemptions [112]

 

Le Dr Hotez demande que les parents qui ne sont pas d’accord avec lui soient amenés à disparaitre. [113]

 

Lorsque le Congrès accorde chaque année 1 trillion de dollars au Département de la Santé [114], les fonctionnaires du gouvernement tels le CDC, le NIH et la FDA n’utilisent pas cet argent des contribuables pour financer une recherche de qualité pour identifier les enfants présentant un risque élevé de dommages vaccinaux ou pour réaliser une étude en vue de comparer la santé des enfants non vaccinés à celle des enfants vaccinés pour savoir enfin pour quelles raisons les parents ne cessent de clamer que les enfants non vaccinés sont en meilleure santé et obtiennent de meilleurs résultats scolaires que les enfants vaccinés.

 

Ces gens n’utilisent pas non plus cet argent pour savoir pourquoi les microbes infectieux évoluent vers des formes plus virulentes et résistantes aux vaccins [115,116,117,118], ou pour savoir combien d’enfants développent des mutations génétiques qui endommagent leur ADN après vaccination. [119]

 

Au lieu de cela les officiels de la santé mettent leur tête dans le sable et collaborent avec l’industrie pour créer des centaines de nouveaux vaccins expérimentaux [120] qui obtiendront rapidement l’autorisation de mise sur le marché et qui seront vraisemblablement rendus obligatoires pour vous et tous ceux que vous connaissez – sans qu’il y ait la moindre exception, et sans que l’on puise poser des questions. Ils sont en train de créer des systèmes électroniques de suivi gérés par le gouvernement [122]. Ils contribuent à dresser les citoyens les uns contre les autres en rendant publics, sur le site du CDC, les taux de vaccinations dans les écoles [123]. Ils vont même dans les églises et contactent les législateurs pour qu’ils fassent pression sur tous les Américains afin qu’ils adhèrent au programme de vaccination du berceau à la tombe. [124,125,126,127,128]

 

Aujourd’hui, si vous vivez en Californie [129] ou dans un autre état qui a éliminé les exemptions pour raisons de conscience, pour motifs religieux, et que vous refusez un vaccin approuvé par le gouvernement, vos enfants ne pourront pas fréquenter une école, ils risquent de se voir refuser des soins médicaux. Vous-même ne pourrez pas être employé dans des services de santé, à moins que vous puissiez trouver un médecin qui vous rédigera une exemption médicale qui risque, dans 99,99% des cas, d’être refusée parce qu’elle ne correspondra pas aux lignes directrices du CDC [130, 131, 132].

 

Et demain ? Et bien, si les Américains ne se lèvent pas et ne cessent pas d’adorer les médecins qui promeuvent une science de pacotille, demain vous risquez de ne plus pouvoir prendre un bus, un train ou un avion. Vous risquez de ne plus pouvoir entrer dans un grand magasin ou sur un terrain de sport. Vous risquez de ne plus pouvoir obtenir un permis de conduire, fonctionner dans la société, à moins que vous ne puissiez prouver que vous avez reçu tous les vaccins que crée l’industrie et que les médecins qui appliquent les règles du gouvernement vous ordonnent de faire.

 

Et si vous ou votre enfant acceptez de vous faire vacciner et que, par malchance, vous en arriviez à souffrir d’une inflammation du cerveau sans pouvoir recouvrer la santé, vous pouvez déjà être pratiquement certain que votre cas sera rejeté comme dépendant du pur hasard ou de coïncidences. Vous serez peut-être aussi étiqueté comme génétiquement défectueux, donc, de toute manière handicapé même si vous n’aviez reçu aucun vaccin [133] C’est déjà ce qui se produit, et la chose est facile puisque quiconque fabriquant, vendant, accordant une licence, administrant un vaccin ou votant pour rendre la vaccination obligatoire est exempté de toute responsabilité devant un tribunal civil.

 

Les personnes qui savent profondément au cœur de leur être que leurs enfants sont en danger, ce sont les mamans qui ont porté leur enfant pendant neuf mois, lui ont donné naissance et sont dotée d’une intuition que la Nature a donné aux femmes afin qu’elles aient le courage de protéger leur bébé de tout danger jusqu’à ce que celui-ci puisse survivre par lui-même. Cet impératif biologique a été « gravé » dans notre ADN pour qu’il puisse contribuer à protéger et à permettre la survie de chaque espèce sur cette planète [134,135,136,137].

 

Et pourtant, ces mères qui connaissent le mieux leurs enfants sont intimidées, ridiculisées et punies si elles se servent de leur intelligence, écoutent leur instinct et refusent de violer leur conscience parce qu’elles veulent vraiment prendre soin de leurs enfants. [138]

 

Il est grand temps de rejeter la cruelle pseudo-éthique de l’utilitarisme qui est à la base des lois concernant les vaccinations obligatoires et qui justifient le sacrifice d’enfants en réduisant ce qui relève de la morale à une équation mathématique. [139]

 

Lorsque l’Etat en arrive à considérer que l’un d’entre nous est sacrifiable, nous pouvons tous être considérés sacrifiables.

Et si l’Etat peut marquer, repérer et obliger les individus à recevoir des injections de produits biologiques dont la toxicité est connue ou même inconnue aujourd’hui, il n’y aura alors, demain, plus aucune limite aux libertés individuelles que l’Etat pourra se permettre de nous enlever au soi-disant nom du plus grand bien.

 

Nous ne pourrons rejeter les chaînes chimiques qui nous rendent malades que si nous agissons pour inculquer le sens de la vérité, de l’intégrité et de la compassion aux membres du gouvernement, que si nous luttons pour défendre la liberté de pensée, d’expression, de conscience et de consentement éclairé par rapport à tout risque médical.

 

Il n’y a pas d’appel plus important pour les Américains du 21è siècle que la mobilisation pour défendre les valeurs culturelles et les droits de l’homme qui peuvent nous protéger de la tyrannie.

 

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